mercredi 2 juin 2010

Conférence sur Caïn et Abel et première matinée de carrefours

Les premiers textes que nous allons aborder après avoir fait connaissance seront tirés de la Genèse.
Caïn et Abel . Père Colomban expose la problématique soulevée et les enjeux qui en découlent


Les enjeux de la discussion :

Comment vivons-nous nos relations familiales et l’enjeu de la relation à travers le couple. Si l’un domine l’autre ?

Si l’un montre de la préférence envers un des enfants et créé ainsi de la jalousie qui peut entraîner très loin ?

 Le problème existe-t-il déjà au niveau des parents ?







Prendre conscience de ce qui est vécu dans vos familles. 
Comment pouvez vous gérer la violence qui est engendrée par las difficultés de vivre ?

Qu’est-ce qui pose problème quand on est jaloux ?

Comment arrive-t-on à cette violence qui mène au meurtre ?

Comment chacun peut arriver à maîtriser cette violence qui l’habite ?



Le chemin d’errance d’erreur et de mort : est celui qui consiste à laisser dominer en soi l’envie, la jalousie, l’esprit de concurrence par rapport à l’autre, celui qui consiste à éliminer l’autre. 
La violence naît du fait que l’homme ne supporte pas la différence, l’inégalité.La vie reste possible malgré la violence mais elle reste fragile et menacée.





Ce récit nous dit comment surmonter la violence.
Le cercle de la violence n’est pas brisé par Dieu, mais bien par l’homme, la violence est la conséquence des comportements des hommes.
La violence dominée, l’homme peut parler : le visage de son prochain lui apparaît visage de frère, dont il est le gardien et qu’il aimera, parce qu’il est son frère si lointain, si différent soit-il.


La violence, la liberté, la responsabilité font partie de la situation d’être humain. C’est à l’homme de gérer sa vie, de maîtriser cette violence qui l’habite et peut toujours surgir.
La différence est une chance de rencontre et de partage, d’enrichissement mutuel pour ceux qui osent se réjouir avec les autres de leur bonheur.
Le respect de l’autre est condition de ma propre vive. Nier l’autre c’est mourir. Il nous faut toujours préférer le dialogue à la violence. parler permet de sortir de l’engrenage de la violence. 






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